Régression totale au gîte fétichistes

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il y a 10 mois

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J’offre une semaine de vacances tous frais payés et 500 € à la nurse qui acceptera de me faire régresser une semaine au gîte fétichistes. Au delà du fantasme, le pauvre Luc va être confronté à une cruelle et régressive réalité.

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Telle était la nouvelle annonce de Luc, un ABDL désespéré de trouver une compagne avec laquelle, il pourrait vivre ses fantasmes. Au délà d’un simple fantasme, pour Luc, c’est un réel besoin que de se sentir protégé, choyé, aimé comme un bébé.

Ce n’est pas que cet homme âgé de 35 ans ne soit pas une personne agréable qui pose problème aux femmes, c’est qu’il les drague en ne parlant que de lui, que de ses envies sans jamais s’intéresser à elles. A cela se rajoute son annonce sur les sites de rencontres :

« Ch femme pour vie commune qui me fera régressé H 24 et m’obligera à porter des couches et à vivre comme un bébé. Annonce sérieuse »

Avec une telle annonce, aucune femme ne pouvait être intéressée. Dans son imagination de macho, pour lui, cette femme serait heureuse d’avoir un bébé à s’occuper et rien d’autre. En faisant abstraction volontairement ou en oubliant qu’une femme a aussi des envies de loisirs, d’un compagnon de vie, puis que l’on s’occupe d’elle dans l’intimité et d’une vraie vie, il ne pouvait pas rencontrer la perle de sa vie.

Agée de 30 ans, Sandra est une femme ronde ultra complexée par son corps. A cela se rajoute une grande blessure psychologique causée par un homme abject. Après l’avoir draguée et grandement charmée, cet enfoiré (mot adapté) l’a sautée ni plus ni moins qu’un seul soir avant de lui avouer, que c’était pour voir comme ça fait « une grosse ».

Cet homme « délicat » l’a ensuite abandonnée nue comme un Kleenex usagé sur le lit de sa chambre en lui disant de ne plus le contacter. En perdant sa virginité de cette abominable façon, blessée et humiliée, Sandra n’a plus jamais cherché à avoir de relation avec les hommes. Pour elle, à cause de son corps, elle serait célibataire à vie.

Ce n’est pas parce qu’on est une femme ronde que l’on a pas des envies et des fantasmes. En s’accordant quelques plaisirs solitaires, Sandra se verrait bien vivre avec un homme coquin voir même un peu daddy dom. Cela serait possible si elle n’était pas ultra complexée et que son âme de femme n’avait pas été brisée par un « enfoiré ».

L’ABDL elle connaît, cela fait aussi partie de ses fantasmes. Si elle osait, elle serait une little méritant des fessées et vivrait avec un Daddy dom aimant le Dark âge-play. C’est donc en surfant sans aucun espoir qu’elle est tombée sur l’annonce de Luc. Ne roulant pas sur l’or, qu’on lui offre une semaine de vacances tout frais payé et 500 euros tombe à pic, 500 euros c’est le devis de son garagiste. Sans voiture, elle ne pourra pas aller travailler.

Après au minimum 30 messages privés, Sandra est convaincue que Luc est sérieux. En plus, elle s’est renseignée, le gîte fétichiste existe réellement, les gens semblent charmants et si elle avait un souci, elle ne serait pas seule.

La première rencontre se fait dans un lieu public, un café. Sandra fait un mètre quatre vingt. Luc est très mince et mesure un mètre soixante, autant dire que si besoin avec une simple gifle, elle aura réglé le problème si besoin. L’affaire est conclue, Luc lui donne 250 euros dès la réservation.

Dans la voiture, avant le départ, ils reprécisent à nouveau chacun leur tour, leurs rôles. Lui souhaite réellement qu’elle lui impose une régression totale une semaine comme un vrai bébé, elle souhaite profiter des vacances offertes mais qu’il n’espère même pas une relation sexuelle, ni qu’il l’a touche. Etant totalement d’accord, ils prennent donc la route.

Luc est en couche avant même d’arriver au gîte fétichistes. Les rôles n’étaient pas réellement établis sur les 200 premiers kilomètres puisque c’est lui qui conduisait. Sur une aire de repos déserte, Sandra décida devant le moulin à paroles perdu dans ses fantasmes, de prendre les commandes avant même d’arriver au gîte. Elle le mit en couche sur la banquette arrière, lui colla une tétine dans la bouche en lui rappelant qu’un bébé ne parle pas, il braille quand il a faim, soif et uniquement pour des choses de bébé !

Fort gêné d’être vu avec sa tétine, assis sur le siège arrière de la voiture, Luc n’osa plus parler.

Arrivés au gîte, Sandra apprécia l’accueil chaleureux. Luc aussi dans un sens, car à peine les papiers faits et la visite des lieux faite, il fut conduit à la nurserie. Une fois changé et langé, il se retrouva dans le lit de bébé pour que « Maman » ait le temps de s’installer. Elle ne fit pas que ça. Elle demanda s’il était encore possible de commander le repas du soir en précisant, classique pour moi et mixé puis sur chaise haute pour mon bébé.

Amusé par l’arrivée en fanfare de ce qu’ils ont pris pour un couple vivant leurs fantasmes à 100 %, Marc et son épouse acceptèrent de faire le repas non commandé et d’installer la chaise haute dans la salle de restauration. Pendant ce temps, Sandra installa ses affaires dans le gîte avant d’aller chercher le petit toujours couché à la nurserie.

Enfer et damnation ! Le bébé était redevenu grand et même vicieux ! Elle le trouva couché sur le lit de la chambre Love en train de se masturber. Autant dire que la remontée de bretelles ou plutôt de couche, fut sévère ! Aux yeux de Sandra, il était inconcevable que Luc puisse faire ça pendant le séjour ! Recouché manu militari après avoir été changé, elle revisita le site du gîte fétichiste où elle retrouva l’indication qu’il était possible de demander aux responsables de garder les clés d’une cage de chasteté.

Le pauvre Luc allait en faire les frais trois fois.

  • Une en achetant une cage de chasteté d’ABCplaisir, la boutique étant dans le même bâtiment.
  • Une en la portant H24.
  • L’autre avec une grande humiliation le soir même dans la salle de restauration.

LES PREMIERES HUMILIATIONS ET LE DEBUT DE LA REGRESSION

En arrivant à 20h30 dans la salle de restauration, ils découvrirent que la table n’était mise que pour trois, Sandra et les propriétaires du gîte. Pour Luc, la chaise haute était placée en bout de table. L’idée d’être réellement vu en bébé le gênait horriblement. En effet, il ne portait comme vêtements que sa couche et un body. Ce fut pire encore pour sa pudeur quand Sandra le fit monter sur la chaise haute qu’elle referma aussitôt.

Dans le menu à 13 euros, un apéritif est prévu. Pour Sandra ce fut un verre de sangria et pour Luc, le mieux est que je leur laisse la parole !

  • ET pour le petit ? Demanda Marc au moment de choisir l’apéro.

  • Un coca ! Répondit Luc naturellement après avoir retiré sa tétine.

  • Non, non, non, pas question que le petit boive ce genre de chose à son âge. Avez-vous du jus de fruits ?

  • Bien sûr Madame répondit Marc.

  • Parfait, prenez son biberon, car un verre c’est trop dangereux répondit Sandra.

Autant dire que Luc n’osa pas discuter. Question humiliation, Sandra se lâcha totalement entre le Canard confit sauce aux figues et le fromage.

  • J’ai vu que vous gardiez les clés des cages de chasteté sur simple demande. Est-ce que cela serait possible de nous en vendre une et de garder les clés pendant notre séjour ? Vous comprenez, ce petit est un gros vicieux, j’ai pour mission de le faire régresser et lui apprendre la sagesse.

Le pauvre Luc faillit avaler sa tétine en écoutant sa « maman » parler de lui comme ça ! Il se décomposa en terminant son biberon quand l’entrée fut servie. Un belle assiette de tapas maison pour eux, et une sorte de soupe pour lui. Sandra assuma son rôle à la perfection, en le faisant manger comme un bébé. Luc essaya bien de discuter lui aussi, mais il lui fut rappelé qu’un bébé sa braille mais ne parle pas. « Je ne te comprends pas » ou « on ne te comprend pas » répondait Sandra à Luc à chaque tentative.

Le bébé fut donc obligé de se taire jusqu’à la fin du repas. A la suite duquel, ils prirent congés pour se rendre à la nurserie au lieu du gîte en demandant à Marc de venir les conseiller pour mettre la cage de chasteté. Luc se décomposa, un homme allait assister à son change, le voir nu et pire encore, à la pose de sa cage de chasteté.

Malgré les conseils éclairés, Luc n’arriva pas à passer l’anneau de sa cage de chasteté. Sandra très gênée de touche le sexe de son bébé non plus. Elle finit par demander à Marc de les aider. Très professionnel, avec une attitude et des gestes aussi précis qu’un infirmier s’occupant d’un patient, il attrapa le sexe de Luc devenu blême, et, en quelques secondes résolut le problème.

  • Voilà, elle est posée, il ne vous reste plus qu’à fermer le cadenas ! Leur indiqua Marc en précisant que ce n’était pas son rôle avant de quitter les lieux pour les laisser en toute intimité.

Le petit oiseau fut bouclé !

Sandra avait décidé de dormir dans la chambre LOVE, lieu fouettant ses propres fantasmes. Une fois que Luc fut en couche et préparé pour la nuit avec, un body et une grenouillère d’été prêtée par le gîte, elle le coucha dans le lit de bébé.

Excitée par tous les sextoys du donjon accolé à la chambre LOVE, Sandra prit la précaution de fermer le lit de bébé à clé avec le petit cadenas prévu à cet effet. Elle lui donna sa tétine, lui souhaita bonne nuit avant de fermer la porte de la nurserie.

Luc était un peu perdu. Dans un sens, sa nurse était très attentionnée, elle s’était bien occupée de lui, il vivait exactement ce qu’il voulait avec un bémol : la cage de chasteté ! Il peina à trouver le sommeil.

De son côté et enfin tranquille, Sandra visita le donjon avec un grand intérêt. Même si elle n’avait jamais été attirée par ce genre de pratique, les lieux de la laissait pas de marbre. Elle quitta les lieux pour se rendre au gîte prendre une douche et sa chemise de nuit avant de revenir à la chambre Love. Passant de « maman » à femme, elle emprunta un gode et le vibromasseur Magic wand pour s’accorder un moment de plaisir solitaire. Ce genre de pratique aidant à trouver le sommeil, elle ne tarda pas à s’endormir contrairement à Luc, son voisin de chambre.

Le lendemain, avant de se lever, elle s’accorda un nouveau plaisir solitaire, les sextoys étant encore sur le lit, autant en profiter. A la suite de quoi, elle fit la grâce matinée oubliant un peu le bébé. Qu’on le veuille ou non, la nature reprend ses droits. Les envies pressantes de Luc ne portaient pas sur le pipi, plusieurs ayant été faits pendant la nuit, mais sur l’autre côté de son anatomie. Ce n’est pas qu’il ne l’ait jamais fait de déféquer dans sa couche, mais là différence notable portait sur le fait qu’il risquait de devoir « baigner » dans ses mictions un certain temps. Et il ne se trompait pas !

En mère ou nurse indigne, Sandra ne se leva que vers neuf heures. Son premier réflexe fut de se rendre au gîte faire ses besoins sur le pot des grands, puis se faire un café avant de prendre une douche. Ce n’est qu’après ça, qu’elle s’occupa du petit déjeuner de son bébé. Macérant dans sa couche bien chargée, Luc attendait avec impatience, en compagnie des odeurs nauséabondes, qu’elle vienne le libérer.

Lorsqu’elle arriva pour le délivrer, elle le fit asseoir sur la chaise d’inquisition pouvant servir de chaise haute pour adulte. S’asseoir sur sa couche pleine ne l’amusa pas ni qu’elle ouvre la porte du donjon pour cause de parfum de fesses sales. Et là, Sandra devint une nurse attentionnée. Elle lui donna un biberon de lait avec beaucoup de tendresse.

Une fois le bibi absorbé, devant les dégâts visibles sur la couche, Sandra estima que le change se ferait au gîte. Luc fut donc guidé et obligé de se déplacer en marchant « en canard » à l’extérieur, ce qui pouvait l’exposer aux regards. Autant dire qu’il ne tarda pas. Au gîte, Sandra le nettoya, le doucha avant de le langer et de l’habiller avec un tee-shirt, la culotte plastique, le body et un pantalon en lui indiquant qu’il fallait aller faire des courses.

Alors qu’ils sortaient du gîte, elle aperçut Marc se rendant à son potager. Elle décida de le rejoindre pour lui demander conseil pour faire les courses, puis si il était possible de leur prêter un gros coussin pour en faire un « rehausseur » dans la voiture. Quelques minutes plus tard, c’est donc assis sur ce rehausseur de fortune sur le siège arrière de sa voiture, qu’ils se rendirent à Mercadona, un supermarché à quatorze kilomètres de là. Luc n’eut pas d’autres choix que d’accompagner sa nurse dans le supermarché avec ses grosses fesses et sa tétine en bouche.

Amusée de sa gêne, elle commentait à haute et intelligible voix, les produits qui devraient être bien pour son gros bébé avant de les mettre dans la caddy. Fort gêné, Luc se sentait malgré tout rassuré, les Espagnols ne pouvaient comprendre ce qu’elle disait en français ! Grossière erreur, en Espagne l’apprentissage des langues étrangères se fait tout petit à l’école. Si bien qu’une femme compatissante, entreprit de la féliciter.

  • Madame, je tiens à vous féliciter. J’ai entendu ce que vous disiez et si je comprends bien, vous avez pris votre frère handicapé avec vous pour les vacances. C’est tout en votre honneur. Lui dit la dame avec un grand sourire.

  • Merci Madame, c’est très gentil à vous. Il souffre effectivement d’une déficience mentale avancée, mentalement il n’a qu’un an et il n’est pas propre. Je ne vous cache pas que c’est une charge importante pour moi de m’occuper de lui. Savez-vous si ils vendent des couches ici ? Demanda Sandra.

  • Oui, j’en ai vu. Je vous accompagne ! Répondit ma femme.

En Espagne, les gens sont très serviables, mais le pauvre Luc n’apprécia pas du tout, bien au contraire, pour lui, cette femme était un véritable pot de colle ! Un quart d’heure plus tard, ils arrivèrent à la caisse avec un caddy bien chargé et surtout, avec deux paquets de couches posés sur le dessus. Les gens ne disaient rien et semblaient compatissants en voyant cette femme accompagnée d’un adulte avec une tétine de bébé dans la bouche et tenu par la main. La caissière l’aida même à remettre les courses dans son caddy en lui parlant en Espagnol. Si ils ne comprirent pas ce qu’elle disait, ils perçurent clairement qu’elle était elle aussi, très compatissante.

Luc fut soulagé de retrouver sa place sur le siège arrière et de quitter les lieux où il touchait du doigt la réalité de ses fantasmes de régression totale imposée. Arrivés au gîte, elle le laissa dans la voiture quelques minutes pour aller chercher des jouets et le tapis de jeu pour l’occuper pendant qu’elle rangerait les courses.

Assis sur son tapis de jeu dans le gîte, Luc se décontracta pendant qu’elle s’occupait du repas de midi. Bien décidé à assumer son rôle de nurse modèle, elle interpella Marc pour savoir si il avait une couverture à leur prêter pour aller pique-niquer. Luc se décomposa en entendant sa demande.

  • Oui bien sûr, je vais vous l’apporter, vous souhaitez aller visiter quelque chose dans le quartier ? Demanda Marc

  • Nous irons demain faire du tourisme, aujourd’hui nous allons profiter de votre parc et du soleil pour pique niquer sur l’herbe. Si cela ne vous dérange pas, pendant le repas de ce soir, vous pourrez nous indiquer ce qu’il y a à voir dans la région ?

« Mais avec plaisir » répondit Marc avant d’aller chercher la couverture. Une heure plus tard, le bébé était assis sur la couverture, à l’ombre sous les grands arbres. Sandra faisait sortit les pots de bébé achetés le matin et commença à nourrir son bébé salivant devant les superbes tranches de jambon ibérique et le chorizo. Hélas pour lui, cette nourriture ne convient pas au bébé.

Extrêmement attentionnée, Sandra l’invita à s’allonger et à poser sa tête sur sa cuisse pour lui donner un biberon de lait chocolaté en guise de dessert. Vues de loin, ils ressemblaient à des amoureux, partageant totalement un instant de régression. Après ce pique-nique, Luc fut conduit à la nurserie puis changé et couché dans le lit qu’elle ferma pour être tranquille.

  • Fait dodo bébé Luc, maman va à la piscine, elle reviendra te voir dans un moment ! Lui indiqua Sandra bien décidée à profiter de ses vacances !

L’eau de la piscine étant à 28°, elle n’eut aucun problème pour y entrer et se baigner sereinement. Elle était si sereine qu’elle décida de retirer son maillot pour faire un peu de bronzage intégral. « Quels pieds ces vacances, je sens que je vais me plaire ici » pensa Sandra en oubliant le bébé. Après s’être protégée avec d’ambre solaire, elle continua de bronzer sur un transat. Ce n’est qu’en fin d’après-midi, qu’elle prit conscience que le « petit » devait avoir faim.

Effectivement, Luc avait faim et soif. Il commençait à s’ennuyer lourdement et à se dire que, finalement, la semaine risquait d’être longue. Il fut ravi de voir arriver sa nounou et qui plus est, en maillot de bain. Sandra l’installa sur la petite chaise installée à la table de la piscine à l’ombre sous le noyer pour lui donner un biberon d’eau et un petit pot de bébé en guise de goûter. La piscine lui faisait de l’œil, il la montra du doigt en essayant de faire comprendre qu’il irait bien se baigner. La piscine étant pour adulte et sans maître nageur, la baignade lui fut refusée pour cause de sécurité. Luc souffla de mécontentement.

En guise de baignade il fut changé, douché, couver d’ambre solaire et assis sur la couverture à côté de la piscine pendant que Sandra se baigna à nouveau sous ses yeux envieux. La soirée fut identique à celle de leur arrivée. Les seules variables portèrent sur le fait qu’on lui mit un bavoir pour adulte et que la discussion porta sur les choses proches à visiter avec un bébé.

Marc et sa compagne commencèrent à se demander, sans rien dire évidement, si ils allaient réellement vivre comme ça toute la semaine en régression ! Lorsqu’ils essayèrent d’en savoir plus sur eux, Sandra resta très évasive ne souhaitant pas être prise pour une nurse professionnelle. Elle leur indiqua seulement qu’ils s’étaient connus par Abkingdom et qu’ils avaient eu l’envie de tenter une semaine de vacances comme ça.

  • Toutes mes félicitations à vous deux, pour oser vivre vos fantasmes et vos envies. Beaucoup ne font que fantasmer sans jamais sortir de leur appartement ou faire des rencontres ABDL. Franchement chapeau bas à vous deux et si on peut vous aider ou si vous avez besoin de quelque chose, surtout n’hésitez pas à demander. Demander ne coûte rien ! Leur indiqua Marc.

Et le soir même, Luc se retrouva comme la veille, enfermé dans son lit de bébé. Sandra s’amusa seule dans la chambre LOVE en testant de nouveaux sextoys. Elle aurait bien piquée une des couches de Luc, hélas elles étaient bien trop petites pour elle. Ayant bien compris qu’au gîte on ne juge pas les fétichismes des autres, elle se promit de se prendre un lot de trois à sa taille le lendemain.

Sandra ayant commandé un pique-nique à emporter, et discrètement un lot de trois couches à sa taille, ils quittèrent les lieux pour aller visiter la région. Le plus difficile pour Luc pour le repas, fut qu’il n’y avait pas la protection visuelle qu’offre la propriété du gîte, surtout au moment du change en pleine forêt…

A leur retour, Sandra installa le bébé sur un tapis de jeu près de la piscine avant de se baigner seins nus. Voir cette grosse et belle poitrine déclencha dans la cage de chasteté et la couche les mêmes effets qu’une bombe. Hormis pour faire pipi, sa zézette ne servit à rien. Lorsqu’elle sortit du bain et vint pour lui donner un biberon d’eau, Luc ne put se retenir de lui dire « t’es très belle ».

Ce compliment toucha Sandra, personne depuis des années ne lui avait fait un tel compliment. Le ton employé par le « bébé » tout comme ses yeux ne laissait aucun doute sur sa sincérité. Si elle apprécia, son expérience avec les hommes fit s’allumer tous les voyants d’alerte dans son cerveau. Elle le remercia et décida qu’il était temps d’aller changer le bébé pour « changer d’ambiance ».

La soirée fut identique à la précédente. Après le repas sur chaise haute dans la salle de restauration, Luc fut à nouveau langé et couché dans le lit de bébé qu’elle ferma à clé et pour cause ! Elle voulait avoir la certitude qu’il ne se lèverait pas, être vue en couche en train de se faire plaisir l’aurait extrêmement gênée.

Une fois seule et la porte fermée, elle se mit nue avant d’essayer le sling pour voir comment cela fait d’être couchée jambes écartées sur cette sorte de drap de cuir suspendu. Ses doigts de la main droite commencèrent à courir entre ses cuisses, ceux de la main gauche à jouer avec ses tétons. Dans sa tête, un beau daddy imaginaire profitait de cette position pour lui faire l’amour sans retenue. Manquant un peu de « matière pénétrante » le cheval d’inquisition lui fit de l’œil.

« Et si j’étais attachée sur ce truc avec des sextoys dans les orifices pendant qu’il martyrise un peu mes tétons, cela me ferait peut-être prendre un pied pas possible » pensa Sandra. « Aller, je me fais la totale » se dit la nurse décidant de s’émanciper dans les coquineries. Elle se mit un petit plug dans les fesses, un gode dans le chaton avant de se mettre en couche. Avant d’aller s’asseoir sur le cheval d’inquisition, elle prit le magic wand sur l’étagère. Assise et empalée sur ses sextoys qu’elle chevaucha de bon cœur un moment, elle s’acheva en quelques instants avec le gros vibro en forme de micro. Son plaisir fut sans pareille, un deuxième « tour » s’imposa suivi d’un troisième.

« C’est fou ce qu’ici, on devient perverse » constata Sandra en se disant que, finalement, avec un vrai homme, les vacances au gîte fétichistes doivent être sublimes. C’est avec cette pensée et un peu de tristesse qu’elle se coucha en gardant la couche sur elle. Quel dommage que Luc ne soit qu’un AB, le séjour pourrait être franchement plus intéressant fut sa conclusion.

De son côté, Luc s’ennuyait ferme. Ayant beaucoup dormi depuis leur arrivée, il n’arrivait pas à trouver le sommeil. A cela se rajoute que manger uniquement de la nourriture de bébé, hormis le repas du soir servi mixé ne comblait pas réellement son appétit. Il commença à regretter d’avoir voulu vivre comme un bébé 24 heures sur 24 pendant une semaine.

Leur nuit respective fut perturbée par des rêves érotiques du côté de la chambre LOVE et dans le lit cadenassé de la nurserie. Les songes que l’on a entre deux sommeils furent par contre différents. Nous pourrions les appeler : « Les regrets » sur leurs conditions de vie.

La pauvre Sandra, condamnée à vivre seule et sans amour pour cause de complexe et blessure.

Le pauvre Luc également. Contaminé par le côté extrême de ses fantasmes ABDL, au point d’en avoir perdu le sens des réalités lors de sa recherche de compagne de vie, il s’était condamné à vivre seul.

Le lendemain matin fut identique au précédent. Sandra fit la grâce matinée, Luc baigna dans sa couche nauséabonde sans pouvoir quitter son lit jusqu’à 10 heures. Comme la veille, il fut lavé, langé et vêtu et contraint de consommer des petits pots de bébé en guise de petit déjeuner. La météo étant incertaine, elle décida de visiter le verger et d’aller manger quelques fruits bios mûrs sur les arbres. Ils constatèrent avec ravissement que les dits fruits n’avaient pas du tout le même goût que ceux du supermarché !

Au départ de cette petite promenade, Luc n’était vêtu que de son body de bébé et sa couche, une tenue originale dans la nature pour un adulte. A fond dans sa mission de nurse, Sandra lui tenait la main afin que « le petit » ne se fasse pas mal. C’est au fond du verger que l’incident arriva sous les pommiers. Le pied de Sandra glissa dans une des rigoles boueuses de l’arrosage. Elle se vautra lamentablement et se tordit la cheville. Assise par terre en la massant avec l’espoir que cela ne soit pas grave, elle vit Luc autrement. Le bébé adulte était devenu un homme attentionné. Un petit moment plus tard, il l’aida à se relever puis à marcher en lui servant de « béquille ».

En revenant à petits pas au gîte, il avait retrouvé la parole, Sandra bien occupée à essayer de marcher ne releva pas cette écart dans leur contrat de régression. Luc était vraiment désolé pour elle et lui proposa d’aller chercher une chaise pour qu’elle fasse une pause, ou d’aller chercher de l’aide. Ne souhaitant pas ennuyer les propriétaires du gîte, elle accepta qu’il aille chercher une chaise. C’est au pas de course que Luc partit la chercher. Il passa voir Marc pour lui demander si ils avaient une pommade pour une entorse.

A son retour au cœur du verger, après avoir aidé Sandra à s’asseoir, il entreprit de lui masser la cheville avec une extrême douceur. Prévenu de l’incident, ils furent rejoints par Marc et sa compagne venus voir si il fallait appeler les urgences. N’aimant pas déranger ni être le centre des préoccupations, Sandra déclina la proposition en estimant que cela ne devait être qu’une petite entorse et que cela allait passer.

Malgré ses réfutations, Marc partit chercher le fauteuil roulant qui initialement, est un fauteuil de douche pour personne handicapée. Détourné de son usage normal pour du CBT ou du fétichisme médical, il permit de ramener Sandra au gîte sans encombre ni douleur.

Après avoir retrouvé l’usage de la parole, Luc devint un ange adulte !

Sandra fut choyée comme jamais. Il se changea puis partit sous prétexte d’aller acheter des cigarettes pour, en réalité, passer à la pharmacie du village d’à côté pour prendre de quoi soigner la nurse de ses rêves. A son retour il prit soin de la cheville légèrement enflée, lui fit un bandage avant de se mettre à cuisiner pour qu’elle se repose.

C’est pendant le repas normal, pris sur une chaise normale, qu’il lui avoua que vivre 24h sur 24 comme un bébé avait été pour lui une expérience révélatrice.

  • En fait, cela est passionnant le premier jour, la première nuit, le premier matin, mais ensuite on s’ennuie ! Lui expliqua Luc.

  • Et là, aujourd’hui à cause de moi, nous cassons un peu ton rêve et ton plaisir ! Déclara Sandra désolée.

  • Oh non ma belle, ne t’inquiète pas pour ça, au contraire, redevenir adulte me plait bien, hormis, bien sûr, que je regrette que tu te sois fait mal. Faire une pause ne me déplait pas. Aujourd’hui, cela sera un jour de repos bien mérité pour ma nurse adorée. Nous aurions du le préciser dans notre contrat ! Ajouta Luc en faisant de l’humour.

  • Tu as raison, je devrai me plaindre au syndicat des nurses. Tu devrais d’ailleurs être puni pour avoir osé devenir un bébé adulte esclavagiste ! Plaisanta Sandra.

Les douleurs de la cheville de Sandra ayant bien diminuée, le soleil étant revenu au beau fixe, ils décidèrent d’aller profiter de la piscine.

  • Je n’ai pas de maillot ! Indiqua Luc.

  • Je peux t’en prêter un mais j’ai peur qu’il soit bien trop grand pour toi ! Plaisanta Sandra avant d’ajouter qu’elle l’avait déjà vu nu et qu’il n’aurait qu’à faire du naturisme.

Par gentillesse, il lui proposa de l’aider à se changer, mais elle refusa en précisant qu’elle devrait pouvoir le faire seule. Quelques minutes plus tard, pour entrer dans la piscine, avec sa cage de chasteté comme seul vêtement, Luc tint la main de sa nurse, vêtue avec simplement le bas de son maillot. Sous un soleil éclatant et 35 ° sur le thermomètre, ils profitèrent longuement de la piscine tout en discutant comme de réels amis.

  • Pourquoi es-tu si différent que sur Abkingdom ? Demanda Sandra. Là tu es un garçon adorable alors que sur le net, tu es, comment dire…, bizarre.

  • Je ne sais pas ou je ne m’en rends pas compte ! Répondit Luc. Peux-tu préciser ta pensée ?

  • Sur Abkingdom, tu fais tellement l’obsédé des couches et de la régression que tu fais débile alors que tu es tout sauf débile.

  • Je vais arrêter les couches ! Déclara Luc.

  • Mais non, ne passe pas d’un extrême à l’autre, c’est idiot. Tu as le droit d’aimer ça, d’avoir des fantasmes et des envies de jouer. Si l’envie de vivre en couche H 24 te plait, pourquoi pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Par contre, peut-être devrais-tu adapter un peu ton langage si tu cherches une compagne, parce que là, comme tu l’as fait jusqu’à présent sur le site, aucune femme ne souhaitera vivre avec toi !

  • Tu pourras me guider sur le site ? Demanda Luc perturbé par ces propos.

  • Oui et non. Je ne peux pas faire ton annonce à ta place. Par contre, je peux te dire si elle est attractive pour une femme.

  • Je peux te poser une question ?

  • Tu peux toujours !

  • Est-ce que tu mets des couches aussi ?

  • Oui, cela m’arrive, j’aime bien ! Répondit Sandra.

  • Est-ce que tu fais pipi et popo dedans ?

  • Tu vois, cette question n’a pas grand intérêt pour un début de discussion, ma réponse changera quoi ?

  • En fait, c’est juste pour savoir !

  • Ce type de question est un peu intime ne trouves-tu pas ? Est-ce que pour satisfaire ta curiosité cela ne te dérange pas de toucher à la pudeur d’une femme ?

  • Si bien sûr !

  • Alors évite-la gros bêta ! C’est comme si je te demandai lors d’un premier échange par internet si tu te mets de gros plug dans le cul ou si tu t’es déjà fait sodomiser LOL !

  • Je crois que j’ai besoin de cours de drague ! Déclara Luc.

  • Et de savoir vivre sur internet car dans la vie, tu me sembles être un garçon charmant ! Peux-tu aller nous chercher s’il te plait des draps de bain et de l’ambre solaire ?

A son retour avec les draps de bain, une fois allongé sur un transat, ils se « tartinent » mutuellement le dos d’ambre solaire.

  • Tu peux m’en mettre sur les jambes s’il te plait ? Lui demande Sandra.

  • Avec plaisir !

Masser les jambes puis cuisses de sa nurse excite grandement le bébé devenu adulte. Sandra contemple avec un certain intérêt pour la première fois depuis leur arrivée, le sexe de Luc. Tout gonflé dans sa cage de chasteté, il tire sur les précieuses et semble vouloir passer entre les barreaux.

  • Dis-donc, cela te fait de l’effet de me mettre de l’ambre solaire !

  • Désolé, mais vous êtes si belle, votre peau est si douce, que même un curé ne pourrait pas rester de marbre.

Pour la seconde fois, Sandra est touchée par les compliments de Luc. Elle peut effectivement constater en regardant la cage de chasteté prête à imploser qu’il est sincère. Amusée, elle décide d’en jouer et se retourne pour qu’il lui passe de l’ambre solaire sur le devant. Etre ainsi massée avec tendresse commence réellement à l’exciter. Bien décidée à profiter de la situation, elle lui demande de lui faire la poitrine.

  • Je peux réellement ? Demande Luc étonné

  • Ben oui gros bêta puisque je te le demande.

Pour Luc, passer l’ambre solaire sur cette généreuse poitrine féminine est à la fois un délice ultra érotique et un véritable calvaire. Ce n’est pas avec les mains qu’il aimerait la toucher mais avec les lèvres. Les yeux fermée, sa nurse « redevenue femme» savoure elle aussi les caresses. Ce n’est pas l’envie de se caresser qui lui manque, cela fait tellement longtemps qu’un homme ne s’est pas occupé d’elle, sachant qu’en plus, le dernier l’a plongée dans la solitude en la blessant.

  • J’ai envie de faire un jeu coquin et toi ? Lui demande Sandra bien décidée à profiter de la vie.

La réponse de Luc fit évidement positive comme le lecteur peut s’en douter. Elle l’envoya chercher une paire de menottes qu’elle lui posa main dans le dos. La chose faite, redevenue la femme très joueuse qu’elle était quand elle était mince, elle lui demanda de retirer le bas de son maillot avec les dents.

  • Tu comprends, je n’ai pas envie d’avoir d’horribles marques de maillot sur mon bronzage, mais je me méfie des mains baladeuses ! Lui expliqua Sandra comme si cela était normal.

C’est avec une grande excitation et beaucoup de délicatesse, que Luc entreprit de retirer le dernier rempart de tissu protégeant le corps de la nurse de ses rêves.

  • Comme je ne peux te donner le sein pour faire comme si je t’allaitais, si tu as envie, tu peux me faire des bisous là ! Lui indiqua Sandra en écartant les jambes.

Luc crut s’évanouir à sa demande en se demandant si il ne rêvait pas ! Comme le grand bébé devenu ultra timide et bien différent de son attitude sur Abkingdom, elle guida sa tête au creux de ses cuisses. L’instant fut si magique et sensuel, que même les oiseaux se turent et le soleil se cacha les yeux derrière un petit nuage.

Folle d’excitation, Sandra se caressa la poitrine puis titilla ses tétons sans pudeur en se faisant longuement brouter le minou. L’affamé devenu glouton dut être un peu modéré pour qu’elle puisse atteindre son but : jouir !

  • C’était très bon, merci vilain garçon ! Plaisanta Sandra avant de se retourner pour faire dorer l’autre côté de son anatomie.

Pensant qu’il devait continuer de « laper », sans prévenir, Luc plongea sa tête dans le délicat pertuis situé entre les généreuses collines encore blanche. Surprise, Sandra n’osa l’arrêter et découvrit rapidement que se faire « bouffer le fion » est loin d’être désagréable ! Luc était dans tous ses états !

Son sexe emprisonné et congestionné commençait à devenir douloureux avec, au total, une heure d’érection contrariée et surtout, compressée. Le soleil quant à lui, ne l’aidait pas dans sa mission gustative, avoir la tête entre de grosses fesses par 35° à l’ombre, cela fait transpirer. Malgré ces inconvénients, il n’avait aucunement envie d’arrêter. Ce fut Sandra, redevenu nurse prévoyante qui l’arrêta. Elle se leva pour aller chercher un biberon d’eau fraîche qu’elle lui donna en le prenant dans ses bras comme un bébé. Mue par une envie câline de « maman », pendant qu’il tétait, elle caressa avec une grande douceur le visage du grand bébé comblé.

Pour se remettre de leurs tendres émotions, ils prirent un long bain dans la piscine avant d’aller savourer une bonne bière bien fraîche sur la terrasse couverte. Il n’y eut pas qu’une bière de consommée, les deux adultes se laissèrent un peu aller. Sous la chaleur, la bière, ou plutôt les bières font de l’effet dans la tête et sur la vessie. Sandra en profita pour jouer un peu avec son grand bébé. Elle lui demanda de marcher à quatre pattes dans le gazon du parc verdoyant et de se soulager comme un bébé qui ne sait pas se retenir.

Amusé par l’idée de jouer au bambino, il fit comme demandé avec grand plaisir. Au moment de se soulager, il leva la patte comme un chien. Sandra lui rappela qu’il n’en est pas un mais observa attentivement ses mixions pour voir comment cela fait sous cage de chasteté. Lancée dans ses délires, elle s’accroupit à son tour pour se soulager sans pudeur devant Luc. Les effets des bières se faisaient aussi sentir pour elle dans tous les sens du terme.

  • Je crois que l’on a trop bu ! Finit par dire Sandra prenant conscience de cet abandon. Allons à la nurserie, j’ai un marmot pervers à m’occuper !

Langé et vêtu comme bébé, ils prirent le chemin de la salle de restauration. Le repas fut servi comme la veille, Luc demanda si on pouvait ne pas mixer le succulent repas, Sandra accepta mais demanda si ils avaient de moufles pour bébé à lui prêter. Le repas fut épique et le bavoir tout comme le carrelage profitèrent également du repas fort animé par les éclats de rire.

L’heure de prendre congé étant arrivée, la nurse emmena son bébé à la nurserie pour le changer. Luc la supplia de le laisser dormir au gîte en précisant qu’il pourrait dormir dans le lit du haut et qu’il serait sage. Il ajouta que passer toutes ses nuits dans un lit de bébé n’est pas très confortable ni aussi amusant qu’il l’imaginait dans ses fantasmes. Ayant pitié de lui, elle accepta.

  • Tu mettras aussi une couche ? Lui demanda soudain Luc.

  • Pourquoi pas, avec ce que l’on a bu à la terrasse, cela m’évitera de me lever toutes les heures !

  • Si tu veux, je peux te la mettre ! Proposa le bébé redevenu adulte !

La nurse accepta bien volontiers, pour une fois qu’on s’occupait d’elle, s’en priver serait une aberration. C’est ainsi que se poursuivit la mutation de leurs jeux et de rôles. Une fois langée, l’envie de câlin poussa Sandra à lui proposer de dormir avec elle. Ils se couchèrent donc tous les deux dans le lit du bas où ils firent un gros câlin aussi conventionnel que sage. La femme résidant dans un corps de nurse aurait bien aimé quelque chose de plus « érotique » et physique… A sa décharge, cette journée comme des amis complices et coquins cela donne des idées de…

Ce n’est qu’au petit matin, par accident et entre deux bisous conventionnels, que leurs tubes digestifs se croisèrent (Pardon, leurs lèvres se croisèrent) pour un long baiser.

Initialement, une nurse ne « baise pas » avec un bébé adulte. Cela est incohérent et pourrait être considéré comme de la pédophilie indirecte. MAIS quand les sentiments s’installent entre deux adultes, ces dérapages affectifs passent bien au dessus des conventions. L’amour a ses raisons que la logique ne comprend pas toujours !

En clair, Sandra commença à regretter d’avoir mis le bébé sous cage de chasteté. A défaut de quelque chose de long et consistant, elle accepta qu’une langue vienne soulager sa pression intérieure en proposant d’aller se doucher. Luc refusa et lui demanda de se laisser faire. Il ouvrit la couche malmenée puis, sans aucune hésitation plongea la tête en avant comme à la piscine mais entre les cuisses parfumées. Se sentant sale, la « pisseuse » mit un peu de temps à s’abandonner à cette langue si généreuse. Une fois « partie » elle oublia la douche et profita grandement de la gloutonne agile et alla même jusqu’à plaquer la tête du bébé devenu grand entre ses cuisses.

  • Tu es doué de la langue toi !

  • Merci ! Répondit Luc pourtant peu habitué aux femmes puisqu’il n’en a connu qu’une dans sa jeunesse.

Après la douche et le petit déjeuner puis la traditionnelle mise en couche, les touristes choisirent comme destination ce qui se visite principalement en voiture. Au mois de juillet, le désert de Bardenas Reales avec la climatisation obligatoire en cette période et en ce lieu. Ils en profitèrent pour faire quelques photos hors piste du petit en couche dans le désert. Sandra regretta de ne pas en avoir mis une, car cette réserve de la Biosphère par l’UNESCO avec son parc Naturel de 42 5000 hectares avec des zones allant de désertique à semi désertique, n’offre pas beaucoup de lieux pour un pipi discret. En période touristique et quand on a encore un peu mal à la cheville, cela n’est pas aussi évident qu’on ne l’imagine !

Au retour, Sandra demanda en secret à Marc de lui remettre discrètement les clés de la cage de chasteté de son bébé. Après la douche, ils ne purent faire autrement que d’aller se baigner à la piscine. Le temps passé ensemble les rapprochait chaque jour un peu plus. Si bien qu’à la piscine, en se faisant baladeuses, les mains ne servirent pas qu’à nager et les langues ne servirent pas qu’à discuter. Heureusement, bien plus basse en température l’eau de la piscine empêcha l’explosion de la cage de chasteté.

Le bébé adulte devint un plongeur émérite n’hésitant pas à aller explorer de sa langue l’entrée d’une grotte située entre les cuisses de Sandra. Les capacités respiratoires d’un humain étant limitées, Sandra décida de laisser Luc dans la piscine pour s’allonger sur une serviette en laissant ses jambes dans l’eau. Il put ainsi lutiner la fleur féminine ravie que l’on s’occupe d’elle.

Si le repas du soir fut comme les précédents, Luc pour profiter de tous les instants avait commandé tous les repas au lieu de s’ennuyer avec la cuisine. Ils ne tardèrent pas à se retrouver au gîte après le passage obligatoire à la nurserie. Câlins après câlins, Sandra finit par lui dévoiler qu’elle avait les clés de la cage de chasteté. Le message était fort clair, autant pour Luc que pour vous les lecteurs ! Les couches furent donc ouvertes pour autre chose qu’un change. Nous dirons plutôt un « échange » charnel d’une grande intensité.

Le dernier jour fut bien différent des autres. Ils discutèrent beaucoup et sans trop de pudeur, de leurs fantasmes, de leurs envies pour en arriver à constater qu’ils étaient : ??? (Compatibles)

En clair, Luc pourrait très bien de temps en temps s’occuper de Sandra comme un daddy un peu pervers, et Sandra pourrait l’obliger de temps en temps à être comme un vrai bébé mais sur des périodes courtes de 24 heures par exemple. Le reste du temps, ils pourraient vivre comme un couple classique et conventionnel.

Ce dernier jour fut consacré à switcher pour voir. (Switcher signifie échanger les rôles)

Sandra donna le sein à son bébé, le bichonna avec bien plus d’amour que depuis leur arrivée au gîte fétichistes. Elle ne jouait pas, elle était à fond dans son rôle comme une vraie maman avec son bébé. En fin d’après-midi, comme dans ses fantasmes avouées, elle devint une little casse pieds qui mérite d’être attachée bras et jambes en croix sur le lit de la chambre LOVE pour être dévoré par son daddy pervers.

Une fois « crounchée » par le sauvage, la little redevenant femme fut libérée et dévora de bisous son nouveau chéri. Le lit de la chambre LOVE pourrait vous dire, si il n’était pas tenu à la discrétion, que les âmes fusionnèrent avec beaucoup d’Amour.

C’est presque avec les larmes aux yeux qu’ils quittèrent le gîte fétichistes le lendemain, cette fois, tous les deux en couche. Luc avait enfin compris qu’une femme ne peut pas être que la nurse de ses fantasmes et, qu’il n’est pas si intéressant que ça de devenir bébé adulte H 24 sur la durée. Il avait aussi compris que la vie est faite d’échanges, que se faire plaisir à tour de rôle, peu importe la façon, est un impératif dans une vie de couple.

En acceptant la proposition financière de Luc, Sandra désespérée des hommes et financièrement, avait découvert que même en étant femme ronde, elle pouvait trouver sa perle d’amour.

FIN

TSM

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI
C'est clair que Marc et le gite existent. Très belle histoire contée par TSM, en espérant un jour que ce soit un client qui la publie... moi j'espère un jour.
Ces personnages clichés finissent par se métamorphoser en personnes humaine, comme si leur personnalité camouflé dans le rôle typique du ABDL soumis et la nurse dominatrice finissent par enlever leurs masques.
Cela révèle une véritable volonté de rapprochement, de libération et d'humanité dans ce milieu de l'ABDL.
Je pense que c'est une vrai pédagogie sur le fonctionnement en société des comportements en couple fétichiste. S'il n'y a pas l'amour ni la tendresse, ces rôles de bébé et de maman solitaires sont vides de plaisirs.
Par un geste charitable, Luc apprend comment se positionner pour espérer trouver la femme de ses rêves, tout comme Sandra découvre ce qu'il y a au-delà des messages indélicat chez l'autre personne.
Parce que le milieu ABDL pullulent tellement de personnes qui ne maîtrise pas leur langages, je pense que cette histoire servira de leçon.
C'est aussi une critique des canons de beauté, mais ce qui est dommage, c'est que je n'ai pas l'impression que vous mettez plus en avant que ça le corps rond de Sandra. Il manquerait des descriptions à faire sur les seins, le ventre, la chaleur de la peau
Il y a pourtant des passages sur le léchage du vagin et quelques mot sur la poitrine de Sandra. Mais ça ne va pas assez loin pour montrez les qualités de son corps, pendant les câlins par exemple. Un corps rond est idéale pour les câlins.
Le côté molletonné et douillet du ventre, les battements de cœur que l'on entend, les sons apaisant sur la gorge grassouillette. Tout cela sont des sensations qui valorise le corps rond de Sandra. Il n'y a pas vraiment ça dans l'histoire.
Mais, c'est avant tout une histoire d'acceptation du corps et de point de vue. Vous avez plutôt choisi cette voie-là, un point de vue plus poétique et non-voyeuriste.
C'est une des plus belle histoire ABDL que j'ai pu lire ici. Bravo.
C'est effectivement une très belle histoire ! Nous espérons venir dans votre gîte l'année prochaine
Une très belle histoire qui fait rêver et qui donne envie de venir vous voir !
Nous avons adoré cette histoire qui, en plus, nous donne envie de venir malgré notre timidité
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